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Posts Tagged ‘Open Source’

Digikam 8.3 s’offre un peu d’intelligence artificielle (Auto-Tags)

Posted by CercLL sur 19 mars 2024

L’application photo de KDE s’offre les Auto-Tags, un nouvel outil pour attribuer automatiquement des tags aux images en utilisant un moteur de réseau neuronal d’apprentissage profond.

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De l’open source (évidemment), mais aussi un travail réalisé dans le cadre du Google Summer of Code. L’objectif : développer un modèle d’apprentissage profond capable de reconnaître différentes catégories d’objets, de scènes et d’événements dans des photos numériques, et de générer des mots-clés correspondants qui peuvent être stockés dans la base de données de Digikam et attribués automatiquement à chaque photo.

C’est quoi digiKam ?

DigiKam est une application de gestion d’images open source intégrée à KDE lancée en 2002 et distribué sous licence GNU GPL. Elle importe et organise les photos par dossiers (albums), mais permet aussi d’apporter des retouches grâce à des greffons (plugins).

DigiKam 8.3 : quoi de neuf ?

La nouvelle version de digiKam, annoncé ce dimanche 3 décembre, apporte plusieurs changements importants :

  • Nouvel outil pour assigner automatiquement des tags aux images en utilisant un moteur de réseau neuronal d’apprentissage profond. Ce travail a été lancé dans le cadre du Google Summer of Code 2023. Le modèle doit être, à terme, capable de reconnaître des objets tels que des animaux, des plantes et des véhicules, des scènes telles que des plages, des montagnes et des villes, etc. Le modèle doit également être capable de traiter des photos prises dans différentes conditions d’éclairage et sous différents angles.
  • Nouvel outil pour appliquer les métadonnées d’une image ou d’un fichier JSON aux images.
  • Ajout de paramètres génériques de proxy réseau pour accéder aux ressources Internet.
    AppImage utilise les frameworks Qt 5.15.12 et KDE 5.115.
  • L’installateur Windows utilise les frameworks Qt 6.6.1 et KDE snapshot 30122023.
  • Mise à jour de Libraw interne vers snapshoot 2024-02-02.
  • Ajout d’une nouvelle page pour personnaliser les paramètres de géolocalisation.
  • Outil de réécriture pour utiliser l’outil CLI de FFmpeg pour encoder des images en vidéo avec bande son et support OSD.
    L’aperçu et le diaporama de la vidéo sont maintenant rendus avec Qt6::Multimedia et Qt5::QtAVPlayer.
  • Le code ancien et non maintenu du framework QtAV utilisé dans le noyau de digiKam a été entièrement supprimé.
  • Qt6::Multimedia et Qt5::QtAVPlayer sont basés et compatibles avec FFMpeg API 5 et plus.

La liste complète des changements se trouve sur cette page. On y compte un peu plus de 250 corrections de bugs, ce n’est pas rien.

La prochaine version de maintenance (8.4) devrait être publiée d’ici la fin du printemps 2024.

Télécharger DigiKam

Vous pouvez télécharger gratuitement DigiKam via cette page pour les systèmes d’exploitation suivants :

  • Linux (des paquets sont proposés pour la plupart des grandes distributions)
  • Windows
  • macOS
  • FreeBSD

Source goodtech.info

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KeePassXC se met aux Passkeys

Posted by CercLL sur 13 mars 2024

Le gestionnaire de mots de passe open source KeePassXC gagne cette semaine deux fonctionnalités très attendues. D’un côté, le support des Passkeys. De l’autre, un outil d’importation depuis d’autres applications. 

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L’application KeePassXC est un gestionnaire de mots de passe gratuit et open-source. Il publié sous la licence libre GPL v2. L’application est disponible pour Linux, Windows et macOS. La dernière version introduit le support des clés d’identification et importe plus facilement depuis d’autres applications, comme 1Password.

Et KeePassX ?

Ne pas confondre avec KeePassX, qui n’est plus activement maintenu depuis fin décembre 2021. KeePassXC est basé sur KeePassX.

Sécurisé ?

KeePassXC offre un chiffrement complet de la base de données avec AES 256 bits. La base de données de mots de passe fonctionne hors ligne et ne nécessite aucune connexion Internet.

Open source ?

Oui, le code source complet de KeePassXC est publié selon les termes de la licence publique générale GNU et est disponible sur GitHub.

KeePassXC 2.7.7 : nouveautés

KeePassXC 2.7.7 a corrigé une quinzaine de bugs et de problèmes. La liste complète des corrections, améliorations et nouveautés se trouve sur cette page Github.

Cette version signe l’intégration officielle des Passkeys pour KeePassXC. Cette fonctionnalité est le fruit d’une année de travail et utilise le service d’intégration du navigateur existant pour stocker et utiliser les clés d’identification (Passkeys) pour l’authentification. Pour rappel, il s’agit d’une alternative aux mots de passe plus sûre.

Autre nouveauté ? Si vous migrez d’un autre gestionnaire de mots de passe, l’application a maintenant la possibilité d’importer vos données depuis les dernières versions de 1Password et Bitwarden. Les développeurs ont également introduit un meilleur workflow d’importation, une meilleure gestion des CSV, et la possibilité d’importer dans une base de données existante.

Télécharger KeePassXC

La nouvelle version de KeePassXC peut être téléchargée gratuitement depuis cette page de téléchargements, mais aussi, pour Linux, depuis PPA Ubuntu et Snapcraft.

Une extension pour navigateur est disponible pour Firefox et pour les navigateurs basés sur Chromium (Chrome, Brave, Opera, Iridium, etc.), y compris Microsoft Edge.

Source goodtech.info

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Ce qu’il faut savoir sur la création de l’Open Website Alliance

Posted by CercLL sur 22 février 2024

4 CMS open source se regroupent pour former une nouvelle alliance de premier plan dans le domaine des logiciels libres. La création de l’OWA (Open Website Alliance) réunit TYPO3, Drupal, WordPress et Joomla.

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Face à la montée en puissance de l’IA et des constructeurs de sites web propriétaires, l’Open Website Alliance (OWA) a pour objectif de promouvoir le choix de logiciels open source pour la création et la gestion des sites web. L’alliance vise également à faciliter la collaboration entre les projets de gestion de contenu open source afin d’améliorer la qualité, la sécurité et la pérennité du web ouvert.

Pour les associations et organisations fondatrices, les logiciels libres jouent un rôle essentiel dans le maintien d’un web ouvert. Ils offrent aux utilisateurs un certain nombre d’avantages : transparence, flexibilité et… interopérabilité. C’est un peu l’esprit dans lequel l’initiative Interop 2024 s’inscrit également, dont nous vous parlions dans cet article.

Fondée visiblement sous l’impulsion de Typo3, l’alliance s’articule autour de trois piliers principaux : collaboration, éducation et défense des droits. Traduction (pour ce dernier pilier) : « L’OWA défendra les droits des projets de gestion de contenu open source et s’opposera aux initiatives qui menacent le web ouvert.

Les développements communs favoriseront une plus grande interopérabilité entre WordPress (le plus important CMS au monde), Joomla, Drupal et Typo3. D’autres CMS open source peuvent rejoindre cette alliance s’ils le souhaitent (on pense évidemment à SPIP ou encore Sanity et GravCMS).

Source goodtech.info

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Quoi de neuf dans la version 14.2.0 de Piwigo?

Posted by CercLL sur 7 février 2024

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Le 11 décembre 2023, la version 14.0.0 de Piwigo, un CMS de galerie photo open source, a été lancée. Il y a quelques jours, une nouvelle mise à jour de cet outil a été annoncée. Découvrez ce que cette correction nous réserve !

C’est quoi Piwigo ?

Piwigo est un système de gestion de contenu open source qui vous permet d’organiser, gérer et partager vos photos en ligne. Cette photothèque à code source ouvert propose de nombreuses fonctionnalités, comme la hiérarchisation d’albums, la répartition par lot, la sélection de thèmes et de plugins, ainsi que le contrôle des permissions.

Les nouveautés de Piwigo 14.2.0

Comme mentionné précédemment, la version 14 a déjà apporté d’importantes nouveautés. Pour Piwigo 14.2, il s’agit plutôt d’une mise à jour axée sur le changement de langues. La nouvelle version intègre dorénavant la possibilité de passer l’outil en arménien. De plus, 20 langues déjà présentes sur le site ont également été mises à jour.

En plus de cette première adaptation, la version 14.2 revient sur la correction de nombreux bugs. Voici un petit aperçu :

  • [recherche] enregistrer la liste des filtres
  • masquer le bouton « rechercher dans cet ensemble » par défaut
  • Mauvaises icônes lorsque AdminTools est activé
  • supprimer une nouvelle ligne lors de l’importation/synchronisation des métadonnées IPTC

Consultez tous les changements effectués dans la note de version Piwigo 14.2.0 et téléchargez la mise à jour.

Retour sur la version 14.0.0

La version précédente, 14.0.0, présentait déjà une refonte performante, notamment pour le moteur de recherche dans la galerie. Une nouvelle fonctionnalité permet à l’utilisateur de rechercher avec plusieurs critères, affichant simultanément les critères et les résultats. Cette fonctionnalité aide à filtrer les albums par tags, mots clés, auteurs, dates, et bien d’autres.

Nous avons également apprécié le développement de l’éditeur d’album avec un nouveau design proposant un meilleur affichage et une expérience de navigation améliorée.

De nouvelles fonctionnalités ont été introduites concernant l’utilisation des groupes : il est désormais possible de filtrer les notifications des administrateurs dans un groupe, ce qui est très utile lorsque vous ne souhaitez pas que tous les administrateurs d’un groupe soient notifiés lors de l’ajout d’un nouveau membre, par exemple.

Piwigo 14 a pareillement introduit la prise en charge de nouveaux formats d’image tels que le HEIC, une compatibilité avec PHP 8.2 et des améliorations de la vitesse.

Source goodtech.info

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Administration: « généraliser l’utilisation de logiciels libres » au quotidien

Posted by CercLL sur 24 janvier 2024

La directrice interministérielle du numérique (Dinum), Stéphanie Schaer, a exposé au Conseil national du numérique comment le logiciel libre participe à la stratégie de l’État.

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Stéphanie Schaer, ingénieure générale des Mines, est depuis septembre 2022 la directrice interministérielle du numérique. La polytechnicienne a été directrice de cabinet d’Elisabeth Borne au ministère du Travail, puis sa conseillère à Matignon, avant d’être nommée à la tête de la Dinum. Dans un entretien il y a quelques jours avec le Conseil national du numérique (CNNum), elle «explique comment les logiciels libres participent à la mise en œuvre des stratégies de la DINUM et reflètent son engagement envers les communs numériques». Elle souligne: «Notre objectif est de généraliser l’utilisation de logiciels libres dans tous les outils utilisés quotidiennement par les agents de l’État.»

« Suite numérique collaborative »

Voici quelques extraits de cette interview, dont la lecture complète est recommandée:

«Cette initiative baptisée la “suite numérique collaborative », est une évolution du “sac à dos numérique de l’agent public” (SNAP) et vise à créer et à promouvoir un ensemble d’outils numériques performants, fondés sur des logiciels libres. Ces produits, dont certains sont d’ores et déjà en service, rassemblent un espace de stockage, une messagerie instantanée (Tchap), des outils de visioconférence (comme le webinaire de l’État), des logiciels d’édition, des outils de calcul, et bien d’autres. Le code ouvert des logiciels nous permet par ailleurs de faire interagir plus facilement les outils entre eux, ce qui répond aux besoins des agents dans leur usage quotidien, par exemple lancer une visioconférence à partir de sa messagerie.»

«Nous accordons une grande attention aux communautés de développeurs derrière ces logiciels, avec lesquelles nous échangeons régulièrement afin de garantir des outils de la plus haute qualité. Nous collaborerons également avec d’autres pays, notamment l’Allemagne qui partage la même vision pour offrir à leurs agents publics un environnement numérique de travail souverain. Nous avons déjà opté pour la même messagerie instantanée et il est possible que nous fassions des choix similaires pour d’autres composants de cette suite.»

«Notre défi est enfin de changer les habitudes des agents pour qu’ils adoptent ces nouveaux outils, facilitant notamment les usages collaboratifs. Tchap en est l’exemple: une messagerie instantanée professionnelle pour agents publics, fondée sur le protocole ouvert Matrix, gérée par la DINUM et hébergée par le ministère de l’Intérieur. Face à l’utilisation massive des messageries commerciales dans les milieux personnels et professionnels, faire adopter Tchap est un véritable défi.»

Dialogue avec l’écosystème open source

«En choisissant de fonder les outils numériques utilisés par l’État sur des briques logicielles libres, la DINUM devient en quelque sorte un membre actif de ces communautés qui maintiennent et développent ces codes, participant ainsi à leur durabilité. C’est pour cette raison que la mission logiciels libres conduite par Bastien Guerry, en plus de diffuser cette culture du libre en interministériel, est en charge d’animer le conseil logiciels libres, une instance de dialogue entre les administrations et les acteurs de l’écosystème open source: nous voulons que notre stratégie profite à l’ensemble des parties impliquées.»

La suite de l’interview porte sur les communs numériques. La cheffe de la Dinum donne en exemple «le site démarches-simplifiées.fr qui a récemment franchi le cap des 10 millions de dossiers échangés. Ce site est un commun essentiel dans le fonctionnement de l’État.»

«Notre engagement envers les communs numériques s’incarne également par l’Accélérateur d’initiatives citoyennes. Des communs initiés par des individus ou des collectifs deviennent indispensables pour conduire certaines politiques publiques. Par exemple, Open Food Facts, une base de données alimentaires ouverte, est devenue un pilier indispensable pour l’État dans la mise en place de politiques de santé publique telles que le Nutri-score, et bientôt l’affichage environnemental. Articuler les politiques publiques avec ces ressources ouvertes existantes représente un gain de temps et d’énergie considérable. L’accélérateur vise à repérer ces initiatives et à leur proposer un soutien financier et un accompagnement à 360°.»

«En fin de compte, les logiciels libres et bases de données ouvertes que nous utilisons constituent pour nous des communs numériques auxquels nous contribuons et qui servent l’ensemble des ministères. Cette approche évite la duplication des efforts pour satisfaire les mêmes besoins, favorisant ainsi une meilleure cohésion et une meilleure collaboration entre les différentes entités.».

Source zdnet.fr

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Linus Torvalds obligé de parler d’IA dans Linux

Posted by CercLL sur 8 décembre 2023

Lors de l’Open Source Summit Japan, Linus Torvalds, créateur de Linux et de Git, a parlé de Rust dans Linux, de la fatigue des mainteneurs Linux et du rôle futur de l’IA dans le développement de Linux et des logiciels libres.

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Linus Torvalds, le fondateur de Linux, s’est fait discret ces derniers temps. Mais lors de l’Open Source Summit Japan de la Fondation Linux, Torvalds et son bon ami Dirk Hondhel, responsable open source chez Verizon, ont évoqué l’état actuel de Linux.

Tout d’abord, ils ont évoqué la prochaine version du noyau Linux, Linux 6.7. Avant d’arriver à Tokyo, Torvalds a publié la quatrième version candidate de la 6.7. Cela signifie que si tout se passe bien, et Torvalds ne voit aucune raison de penser que ce ne sera pas le cas, la prochaine version de Linux arrivera aux alentours de Noël.

Pour s’assurer que les mainteneurs et les développeurs qui préparent actuellement la prochaine version, la 6.8, ne soient pas pris de « panique parce qu’ils savent qu’après Noël, ma fenêtre de fusion s’ouvrira, nous la retarderons probablement d’une semaine ou deux pour que le calendrier soit mieux respecté, car personne ne veut travailler pendant la période de Noël ».

De la difficulté de recruter des mainteneurs Linux

En parlant des mainteneurs, ces développeurs qui maintiennent Linux, Hondhel a soulevé la question de la « fatigue des mainteneurs, dont le rôle est épuisant et stressant ».

« Il est plus facile de trouver des développeurs ; nous en avons beaucoup. Mais certains pensent qu’il faut être un super-développeur qui peut tout faire pour être mainteneur, mais ce n’est pas vrai » a dit Torvalds. « Pour être mainteneur », poursuit-il, « il faut avoir un certain goût pour juger le code des autres. Une partie de ces qualités est peut-être innée, mais une grande partie est le fruit de la pratique. Il faut être capable de regarder le code d’autrui et de dire : « Est-ce une bonne ou une mauvaise approche ? » C’est généralement une question d’expérience, acquise au fil des ans.

Cela dit, M. Torvald ajoute : « Nous avons beaucoup d’excellents responsables de la maintenance, mais il faut aussi être présent tout le temps. Ou alors, il faut trouver d’autres mainteneurs avec lesquels on peut travailler, de manière à pouvoir planifier ses vacances ».

L’open source, c’est aussi de la communication

Pour Torvalds, « être présent tout le temps n’est pas un problème parce que j’aime ce que je fais. J’étais en vacances il y a quelques mois et j’avais mon ordinateur portable. Si je n’avais pas eu mon ordinateur portable avec moi, je me serais ennuyé. Mais je me suis rendu compte que ce n’est pas la vie de tout le monde ».

En 2018, Torvalds a décidé de revoir son engagement et son attitude. Il a fait une pause pour travailler sur son comportement envers les autres développeurs. Une fois cela fait, Torvalds est revenu à son travail sur le noyau Linux. Et depuis, il s’est montré beaucoup plus modéré. Comme il l’a indiqué à Tokyo, il ne va plus « faire un doigt d’honneur. J’ai retenu la leçon ».

En résumé, Torvalds a déclaré : « Beaucoup de gens semblent penser que l’open source se résume à la programmation. Mais c’est aussi en grande partie une question de communication. Les mainteneurs sont ceux qui traduisent. Je ne parle pas nécessairement de la langue. Je veux dire le contexte, la raison d’être du code. C’est un travail difficile. Mais si vous voulez être mainteneur, croyez-moi, il y a de la place au sommet ».

La communauté Linux… vieillit

Un problème connexe est le vieillissement de la communauté du noyau Linux.

Hondhel a fait remarquer. « Si je me projette dans cinq ans, de nombreux membres du noyau Linux atteindront la soixantaine, et les premiers approcheront les 70 ans ».

C’est vrai, a admis Torvalds, « beaucoup d’entre nous prennent de l’âge, mais en même temps, cela s’explique en partie par le fait que nous avons des mainteneurs qui sont là depuis plus de 30 ans. Ils sont toujours là, toujours actifs. Nous avons une communauté où les gens restent ».

« Rust ne s’est pas encore imposé comme la prochaine grande nouveauté »

M. Hondhel estime que le vieillissement de la communauté du noyau est une « épée à double tranchant ». Torvalds est d’accord, mais il nuance. « Avec l’introduction de Rust dans le noyau, nous avons un mainteneur clairement beaucoup plus jeune que la plupart des autres. Certains domaines du noyau attirent plus les jeunes ». Du côté des pilotes aussi, il est beaucoup plus facile de trouver des jeunes.

Hondhel et Torvalds ont également parlé de l’utilisation du langage Rust dans le noyau Linux. Torvalds a déclaré : « Il se développe, mais nous n’avons pas encore de partie du noyau qui dépende vraiment de Rust ».

Cela dit, M. Torvalds a ajouté : « Rust ne s’est pas encore imposé comme la prochaine grande nouveauté. Mais je pense qu’au cours de l’année prochaine, nous commencerons à intégrer des pilotes et des sous-systèmes majeurs qui commenceront à l’utiliser activement. Cela va prendre des années avant de devenir une partie importante du noyau ».

« L’intelligence artificielle, c’est de l’autocorrection sous stéroïdes »

Pour ce qui est de l’avenir, M. Hondhel a déclaré qu’il fallait parler de « modèles de langage à grande échelle (LLM) de l’intelligence artificielle ».

« L’intelligence artificielle, c’est de l’autocorrection sous stéroïdes. En effet, tout ce que fait un grand modèle linguistique, c’est prédire quel est le prochain mot le plus probable que vous allez utiliser. Puis il extrapole, ce qui n’est pas vraiment très intelligent. Mais il est évident que l’impact de l’IA sur nos vies et la réalité dans laquelle nous vivons est significatif » a t-il dit. « Pensez-vous que nous verrons arriver du code généré par des LLM ? »

Torvalds a répondu : « Je suis convaincu que cela arrivera. Et c’est peut-être déjà le cas à petite échelle ». Mais, contrairement à beaucoup de gens, M. Torvalds n’est pas trop inquiet au sujet de l’IA. « L’automatisation a toujours aidé les gens à écrire du code. Ce n’est pas du tout nouveau » dit-il.

En fait, Torvalds espère que l’IA pourrait vraiment l’aider en étant capable de « trouver les bogues stupides et évidents parce que beaucoup des bogues que je vois ne sont pas des bogues subtils. Il n’est pas nécessaire d’avoir une intelligence supérieure pour les trouver. Je vois l’IA comme un outil qui peut nous aider à être meilleurs dans ce que nous faisons ».

Source : zdnet.com

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Tutanota facilite les actions rapides dans son webmail

Posted by CercLL sur 31 Mai 2023

Une mise à jour du design introduite le 26 mai dernier apporte quelques améliorations au niveau de l’apparence, mais aussi au niveau des fonctionnalités. Les actions rapides sont devenues beaucoup plus simples.

Tutanota peaufine son interface. L’entreprise allemande rassure ses utilisateurs : la vue conversation et l’importation des e-mails sont toujours sur le métier et devraient être introduites cette année.

En attendant, plusieurs bonnes nouvelles sont à signaler, qu’on retrouve dans le « changelog » officiel. Avec la dernière mise à jour du design, les développeurs ont introduit une nouvelle barre d’outils qui vous permet d’effectuer des actions rapides (sélection multiple, sélectionner tout). Ensuite, il est désormais possible d’effectuer de petites actions pratiques (supprimer, déplacer, marquer comme (non)-lu ou encore télécharger). La nouvelle barre d’outils a été adoptée aux contacts Une fois que vous avez sélectionné plusieurs contacts ou tous les contacts, vous pouvez effectuer des actions rapides sur les contacts sélectionnés également.

Les nouveautés concernent la version « desktop » (web, Linux, macOS, Windows) et les applications mobiles officielles. Le développement open source est concentré sur Github.

Source  toolinux.com

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Ce qu’il faut savoir sur Talos Linux (Kubernetes)

Posted by CercLL sur 10 février 2023

L’environnement cloud native est devenu complexe. D’où la nécessité de créer des environnements de travail simplifiés, sécurisés et stables. Sidero Labs vient de lancer Talos Linux pour exécuter Kubernetes de manière cohérente sur toutes les plateformes.

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Talos Linux est disponible. La distribution Linux est taillée pour Kubernetes et est mise à l’honneur cette semaine par l’éditeur britannique Civo.

C’est quoi Talos Linux ?

Talos Linux est une distribution GNU/Linux sécurisée conçue pour Kubernetes, éditée par Sidera, une enteprise basée près de Santa Barbara en Californie.

Tous les accès au cluster se font via l’API, ce qui élimine le recours au Secure Shelling (SSH) et réduit le potentiel d’attaques de surface. La sécurité est renforcée par des modules comme AppArmor et SELinux, ainsi que des améliorations de la sécurité du noyau Linux comme Grsecurity.

Le système d’exploitation dispose d’une couche d’infrastructure immuable au-dessus des serveurs physiques, garantissant que tous les serveurs sont identiques et ont la même configuration.

Open Source

Talos Linux est développé à code source ouvert et est disponible gratuitement (MPL-2.0). En tant que système à code source ouvert, Talos Linux permet à quiconque d’inspecter, de modifier et de distribuer son code source. Sidera fournit le support autour de cette distibution.

Téléchargement

Il est possible de télécharger Talos Linux gratuitement. Un guide de démarrage est proposé sur le site de l’éditeur (en anglais). Le développement se fait sur Github.

En vidéo

Vidéo de présentation (en anglais) de DevOps Toolkit.

Source toolinux.com

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F-Droid, tout savoir sur l’app store open source pour Android (Guide)

Posted by CercLL sur 9 janvier 2023

Si vous souhaitez télécharger des applications open source pour Android, F-Droid est un app store qui regroupe un grand nombre de logiciels libres et open source. On vous explique ce que vous pouvez y trouver et comment installer F-Droid sur votre smartphone ou votre tablette.

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C’est quoi F-Droid : une boutique d’applications open source pour Android

Table des matières

C’est quoi F-Droid ?
Fonctionnalités
Versions open source des apps populaires
Qui est derrière F-Droid ?
Télécharger F-Droid
F-Droid pour iOS
Faut-il un compte ?
Gestion des dépendance
UnifiedPush pour les notifications (nouveau)
Décentralisation des dépots

Dernière mise à jour : 09 janvier 2023.

C’est quoi F-Droid ?

F-Droid est un dépôt d’applications et de logiciels libres Android. C’est un projet open source tenu par la communauté et développé par un grand nombre de contributeurs.

Le projet et son infrastructure tournent sur un système Debian Linux.

Qui est derrière F-Droid ?

L’infrastructure de base de f-droid.org est gérée par F-Droid Limited, une société privée de droit britannique, mais F-Droid est un projet communautaire. Les dons pour son développement sont gérés sur OpenCollective.

F-Droid : dons via OpenCollective

Que peut-on trouver sur F-Droid ?

F-Droid se présente comme un site web offrant un dépôt avec des applications FOSS pour Android. Le projet dispose de son application Android. Elle permet d’effectuer des installations et mises à jour. Elle présente également des évaluations.

On trouve, par exemple, un navigateur web open source, FOSS Browser.

Toutes les applications Android sont-elles sur F-Droid ?

Non, certaines applications populaires ne sont pas disponibles sur F-Droid, car ces applications ne sont pas open source. F-Droid est un dépôt ne contenant que des applications FOSS.

On trouve par contre une alternative à de nombreuses applications propriétaires Android. C’est le cas, par exemple, de Barinsta, un clone open source de l’application Instagram.

Barinsta, une application Instagram open source pour Android

Dois-je supprimer Google Play ou Amazon App Store ?

Non, F-Droid fonctionne en complément de Google Play Store en ne proposant que des applications FOSS. Vous pouvez continuer d’utiliser votre boutique d’applications Android habituelle (Google, Amazon, Aptoide, APKMirror, Aurora Store, Galaxy Store, etc.).

F-Droid existe-t-il pour iOS et iPadOS ?

Non, Apple n’autorise pas les boutiques d’applications tierces. Pour trouver des applications open source pour iOS, rendez-vous sur cette page Wikipedia, en anglais. Elle répertorie la liste des applications iPadOS et iOS libres and open-source.

Comment télécharger F-Droid ?

Vous trouverez le fichier d’installation de F-Droid (apk) sur cette page. L’application est disponible aussi bien sur smartphone que sur tablette.

L’application F-Droid

Il s’agit d’une application mobile Android publiée sous GNU General Public License v3.0. Elle nécessite Android 5.1 ou ultérieur.

Faut-il un compte pour utiliser F-Droid ?

Non, l’application F-Droid assure qu’elle respecte votre vie privée.

« Nous ne suivons à la trace ni vous ni vos données. Nous ne suivons pas ce que vous installez. Vous n’avez pas besoin de compte pour utiliser le client et il n’envoie aucune donnée supplémentaire à notre serveur qui pourrait vous identifier, à part son numéro de version. « 

Décentralisation des dépôts

En février 2022, le projet F-Droid a annoncé son projet de décentralisation de la distribution d’applications : « Les dépôts d’applications décentralisés offrent aux utilisateurs une plus grande flexibilité sans devoir s’éloigner de l’infrastructure principale de F-Droid« . Le travail mené se concentre sur le renforcement des fondations de F-Droid tout en « permettant aux référentiels d’être hébergés sur un stockage décentralisé et en diffusant la plateforme comme une alternative viable pour tous les types d’utilisateurs et d’organisations« .

UnifiedPush : notifications en open source

En décembre 2022, les développeurs de F-Droid ont ajouté une nouvelle option de notification, UnifiedPush. Il s’agit d’un protocole de notification push décentralisé et open-source.

UnifiedPush est une nouvelle alternative qui vous permet d’obtenir des notifications push sans être lié à une seule entreprise. Les applications qui supportent UnifiedPush peuvent recevoir des notifications via une application UnifiedPush dédiée qui maintient une seule connexion au serveur pour recevoir toutes les notifications.

Gestion des dépendances

Ce qui rend les distributions GNU/Linux si populaires est bien souvent la gestion des dépendances, directement intégrée au système d’exploitation. Dans Debian, tous les logiciels installés sont empaquetés sous forme de .deb, et tous sont installés à partir des dépôts Debian.

Android a toujours manqué de ce type de gestion des dépendances. Le modèle d’Android est que toutes les dépendances doivent être incluses dans le fichier APK de l’application, alors que le système d’exploitation ne fournit que les API les plus basiques.

L’expérience de gestion des dépendances la plus récente dans F-Droid a pour nom « Push Requests ». L’idée de base est d’avoir une liste de dépendances par Repo. Elles sont toutefois supprimées, pour des raisons liées à la sécurité : cette « plomberie » des requêtes push restera disponible dans la base de code, « de sorte que les forks labellisés pourront toujours l’utiliser« .

Peut-on créer un app store avec F-Droid ?

Oui, F-Droid est également un kit pour magasin d’applications. Il fournit les outils nécessaires à la mise en place et le fonctionnement d’un app store, c’est à dire une boutique ou un magasin d’applications en ligne et sur mobile.

Vous trouverez une liste de consultants F-Droid à cette adresse.

Source toolinux.com

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Sortie de postmarketOS 22.12, le système Linux pour smartphone

Posted by CercLL sur 22 décembre 2022

La version 22.12 de PostmarketOS a été lancée cette semaine, qui introduit le support du Fairphone 4 et de la tablette Samsung Galaxy Tab 2. Cette distribution optimisée pour le mobile s’adresse principalement aux passionnés de Linux, mais elle se démocratise clairement.

Quelques jours après la sortie d’Alpine Linux 3.17, son édition pour les smartphones et les tablettes est déjà de sortie.

C’est quoi PostmarketOS ?

PostmarketOS est un système d’exploitation libre et open-source orienté vers les smartphones. Il est développé depuis 2017 et est basé sur la distribution Alpine Linux.

Que peut-on faire avec PostmarketOS ?

Le système postmarketOS permet d’utiliser des applications Linux optimisées pour des terminaux mobiles, sans passer par une couche Android. Le projet vise à fournir un cycle de vie de dix ans pour les smartphones, avec des mises à jour régulières pour obtenir les nouvelles fonctionnalités, mais aussi pour maintenir la sécurité.

La liste des applications disponibles se trouve sur le wiki officiel : de Firefox à Chromium en passant par Geary, Spacebar pour les SMS, Telegram, GNOME Podcasts, le gestionnaire de fichiers Nemo ou encore l’application de téléphonie Plasma Dialer.

Quoi de neuf ?

Petit résumé des nouveautés de postmarketOS v22.12 :

Sxmo 1.12.0 remplace la version 1.9.0 de la v22.06
Phosh 0.22 avec un changement de l’éditeur de texte par défaut de gedit à gnome-text-editor pour les nouvelles installations
Plasma Mobile Gear 22.09 comprend, entre autres, de grandes améliorations pour le shell, l’écran d’accueil et le composeur par rapport à la 22.04

Toutes les nouveautés se retrouvent dans cet article de blog.

Quels sont les appareils compatibles ?

Le nombre de périphériques pris en charge est passé à 25 avec cette version de juin 2022. Les appareils compatibles actuellement sont :

ASUS MeMo Pad 7
Arrow DragonBoard 410c
BQ Aquaris X5
Fairphone 4 (nouveau)
Lenovo A6000
Lenovo A6010
Motorola Moto G4 Play
Nokia N900
ODROID HC2
OnePlus 6
OnePlus 6T
PINE64 PineBook Pro
PINE64 PinePhone
PINE64 PinePhone Pro (v22.06 SP1)
PINE64 PineTab
PINE64 RockPro64
Purism Librem 5
SHIFT6mq
Samsung Galaxy A3 (2015)
Samsung Galaxy A5 (2015)
Samsung Galaxy E7 (v22.06 SP1)
Samsung Galaxy S III (GT-I9300 et SHW-M440S)
Samsung Galaxy S4 Mini Value Edition
Samsung Galaxy Tab 2 7.0″
Samsung Galaxy Tab 2 10.1″ (nouveau)
Samsung Galaxy Tab A 8.0
Samsung Galaxy Tab A 9.7
Wileyfox Swift
Xiaomi Mi Note 2
Xiaomi Pocophone F1
Xiaomi Redmi 2

Télécharger postmarketOS

Les images sont disponibles pour les téléphones et les tablettes avec les interfaces optimisées pour les mobiles Phosh, Plasma Mobile et Sxmo. Pour les autres appareils (dont les ordinateurs PineBook Pro), la distribution fonctionne avec Plasma Desktop, Gnome, Sway, Phosh et en mode Console. Tous les détails pour télécharger et installer postmarketOS se trouvent sur cette page.

Source toolinux.com

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Le Conseil national du numérique affirme son soutien au Libre

Posted by CercLL sur 24 octobre 2022

Le Conseil national du numérique (CNNum) promeut à travers l’usage de plusieurs outils les logiciels libres, « source de convivialité, de partage, de coopération et de liberté ».

 

Logo du Conseil national du numérique

Commission consultative indépendante (créée en 2011, elle a connu plusieurs soubresauts), le Conseil national du numérique (CNNum) communique sur son « soutien à la promotion du Libre », et affirme: « Source de convivialité, de partage, de coopération et de liberté autant qu’outils nécessaires pour garantir un web ouvert, le libre est un sujet qui tient à cœur au Conseil national du numérique depuis de nombreuses années. Le Conseil renforce son soutien et rejoint la démarche collective de promotion du libre au sein de l’Etat et en dehors à travers plusieurs objets: des ateliers de contribution à Wikipédia, un agenda ouvert sur Framagenda, une chaîne Peertube et une carte des déplacements sur uMap. »

Wikipédia, agenda, PeerTube

Le CNNum précise:

– avoir organisé cinq ateliers de sensibilisation à la contribution à Wikipédia, une démarche présentée dans un billet de Louis Magnes, responsable plaidoyer au CNNum, sur LinkedIn. Autour de l’Observatoire sur l’utilisation du numérique dans la guerre en Ukraine, un travail de documentation a été mené, et « quel meilleur endroit pour collaborer collectivement à l’agrégation et au partage d’un savoir que Wikipédia? »

– ouvrir son agenda (vie du Conseil, événements ouverts au public, initiatives signalées…) et entre autres « montrer par l’expérience qu’il existe des outils ouverts, libres, participatifs, contributifs et qui œuvrent à la construction de savoirs communs ».

– migrer sur PeerTube, pour y diffuser plusieurs contenus (interviews, exposés…).

Jean Cattan, secrétaire général du Conseil national du numérique, explique: “Le Conseil national du numérique a toujours eu à cœur de soutenir la démarche du libre et des communs numériques. Les outils que nous déployons aujourd’hui sont essentiels pour renforcer notre soutien – par l’action et en totale cohérence avec notre mission d’agora scientifique et citoyenne. Je suis ravi que le Conseil rejoigne concrètement ce mouvement collectif, qui apporte également beaucoup de plaisir.”

« L’État est paradoxal »

Parmi les nombreuses publications du CNNum, voir cet échange avec Angie Gaudion, de Framasoft (sur la philosophie de cette association remarquable, tout est à lire).

Dont ce passage:

« Framasoft est devenue une association d’éducation populaire aux enjeux du numérique et des communs culturels. Notre objet social n’est plus de faire la promotion du logiciel libre, mais de transmettre des connaissances, des savoirs et de la réflexion autour de pratiques numériques émancipatrices. Pourtant, nous continuons à offrir des services en ligne afin de démontrer que ces outils existent et sont des alternatives probantes aux services des géants du web. Nous transmettons davantage désormais connaissances et savoirs-faire sur ces outils et accompagnons les internautes dans leur autonomisation vis-à-vis des géants du web. »

« L’État contribue aux communs. Par exemple, l’Éducation nationale propose la page apps.education.fr qui référence un ensemble de services pédagogiques en ligne basés sur du logiciel libre. Mais l’État est paradoxal : il contribue aux communs et signe des accords avec Microsoft pour implémenter Windows sur les postes informatiques des écoles. De plus, cette initiative de l’Éducation nationale est très bonne, mais elle reste très méconnue du corps enseignant. Au-delà de la contribution, il y a donc aussi un enjeu important de promotion. »

Source zdnet.fr

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Comment choisir la bonne distribution Linux

Posted by CercLL sur 19 octobre 2022

Avec des milliers d’options à examiner, voici nos meilleurs conseils pour choisir la distribution Linux qui répond à vos besoins.

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Linux est une plateforme puissante, polyvalente, sécurisée et fiable qui peut être utilisée partout. Du serveur au bureau, de l’IoT aux conteneurs, aux systèmes embarqués et bien plus encore….

Vous ne réalisez peut-être même pas à quel point le système d’exploitation open source est répandu. Il est littéralement présent partout.

Mais il y a un domaine dans lequel Linux n’a pas encore beaucoup progressé : l’ordinateur de bureau. Ce n’est pas parce que ce n’est pas une option viable, j’utilise Linux comme système d’exploitation depuis des décennies et je n’ai jamais eu de problème. Il fonctionne à merveille et m’offre une stabilité et une flexibilité qu’aucun autre système d’exploitation ne peut égaler.

Ceci étant dit, comment se fait-il que Linux ait eu tant de mal à gagner des parts de marché sur ce secteur ?

L’une des raisons en est le choix. Pour les utilisateurs qui sont déjà familiers avec Linux, le choix est un argument de vente important, car il signifie qu’il y a plein d’options à choisir (sur à peu près tous les sujets).

Pléthore de choix

Il existe des milliers de distributions parmi lesquelles choisir, toutes offrant des environnements de bureau différents, des gestionnaires de paquets et des design propres. Cependant, pour ceux qui ne sont pas familiers avec Linux, un tel choix peut être problématique.

Par où commencer ? Avec autant de choix, il peut être presque impossible de savoir par où commencer sa recherche. C’est pourquoi j’ai voulu vous donner mes meilleurs conseils pour choisir une distribution Linux, afin que vous n’ayez pas à patauger dans un océan d’options.

Mais avant d’aller plus loin, une précision : je ne vais pas me plonger dans toute la complexité de Linux.

Ceux qui font leurs premiers pas avec un nouveau système d’exploitation n’ont pas besoin de connaître les options telles que systemd, les fonctions de sécurité comme SELinux, les gestionnaires de fenêtre comme LightDM ou les chargeurs d’amorçage comme GRUB.

Les nouveaux utilisateurs ont simplement besoin de savoir comment faire un choix qui les aidera à se familiariser avec un nouveau système d’exploitation. Ils veulent être en mesure d’être productifs sans avoir à plonger en profondeur dans quoi que ce soit.

Tout tourne autour du bureau

Je ne vais pas y aller par quatre chemins : le choix le plus important que vous ferez au cours de votre aventure avec Linux est l’environnement de bureau que vous choisirez. Bien qu’il n’y ait pas autant d’environnements de bureau que de distributions, il en existe tout de même un grand nombre, comme GNOME, KDE Plasma, Pantheon, Budgie, Xfce, Cinnamon, Mate, Enlightenment, Deepin Desktop, LXDE, i3, LXQt, Sugar, et bien d’autres encore. Tous ces environnements de bureau ne constituent cela dit pas des bons choix pour un nouvel utilisateur.

Pour ceux qui n’ont jamais utilisé Linux, il n’y a vraiment qu’une poignée d’environnements de bureau à envisager :

  • GNOME
  • KDE Plasma
  • Cinnamon
  • Mate
  • Xfce

Dans la liste ci-dessus, je ne recommanderais pas Xfce, simplement parce qu’il pourrait être un peu trop complexe pour l’utilisateur moyen. Même si Xfce est un environnement de bureau très convivial, il y a beaucoup d’options de configuration disponibles, ce qui pourrait devenir rapidement intimidant. Et bien que j’utilise un bureau basé sur GNOME, je ne recommanderais pas le bureau GNOME à ceux qui n’ont jamais utilisé Linux, simplement parce qu’il est très différent par rapport à ce qui se fait aujourd’hui.

Il reste donc KDE Plasma, Cinnamon et Mate. Parmi les trois, KDE Plasma est l’un des bureaux les plus élégants, mais il offre beaucoup de fonctionnalités accessoires pas forcément utiles.

Il ne reste donc plus que Cinnamon et Mate. Entre les deux je recommande Cinnamon pour deux raisons : c’est le bureau par défaut de Linux Mint et il est en phase de développement actif.

L’importance des gestionnaires de paquets

Dans la plupart des cas, les gestionnaires de paquets ont tendance à être assez similaires. Par exemple, pour installer un logiciel sur Ubuntu à partir de la ligne de commande, la commande ressemblera à ceci :

sudo apt install firefox -y

Sur Fedora, cette commande ressemblera à ceci :

sudo dnf install firefox -y

Cependant, sur une distribution basée sur Arch, cette commande sera :

sudo pacman -S firefox

Vous vous demandez probablement « Pourquoi on parle de ligne de commande dans un article destiné aux nouveaux utilisateurs ? » Bonne question. Le fait est que la plupart des distributions Linux sont livrées avec une interface graphique pour leurs gestions des paquets. Par exemple, les bureaux basés sur GNOME ont GNOME Software et KDE Plasma a Discover. Les distributions basées sur Arch Linux ont Pamac. De fait, la plupart des nouveaux utilisateurs ne devraient pas avoir de problème pour installer des applications. Au lieu d’exécuter des commandes, il leur suffit d’ouvrir la boutique d’applications, de chercher un logiciel et de l’installer.

C’est aussi simple que cela. Cependant, parmi tous les gestionnaires de paquets disponibles, je conseille vivement aux nouveaux utilisateurs de s’en tenir à une distribution qui utilise soit apt, soit dnf, c’est-à-dire soit basé sur Ubuntu ou Fedora.

À ce stade, nous nous intéressons aux distributions de type Ubuntu ou Fedora qui utilisent le bureau Cinnamon. Notre choix s’est réduit à deux distributions différentes :

Pour tout utilisateur novice en matière de Linux, je n’hésiterais pas à recommander l’une ou l’autre de ces distributions.

Alternatives

Il faut malgré tout prendre en compte les points suivants :

  • Préférez-vous un bureau d’apparence plus moderne et qui fonctionne sans avoir rien à faire ? Si oui, optez pour Ubuntu.
  • Si vous voulez un système d’exploitation de bureau plus élégant qui se comporte de la même manière que celui auquel vous êtes habitué et qui jouit de la même convivialité, alors choisissez Kubuntu
  • Si vous souhaitez une distribution qui se concentre sur la stabilité, mais qui ne publie pas de mises à jour aussi souvent que les autres distributions, optez pour Debian
  • Si vous recherchez un système d’exploitation de bureau efficace, mais qui conserve un haut niveau de convivialité, choisissez Pop!_OS.

Que vous souhaitiez vous en tenir à quelque chose de familier, essayer quelque chose de complètement différent ou trouver un juste milieu, Linux offre des options qui peuvent répondre à tous les besoins.

 

Source : zdnet.com

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La fondation Linux franchit l’Atlantique

Posted by CercLL sur 30 septembre 2022

La Linux Foundation Europe est créée à Bruxelles, avec pour DG Gabriele Columbro, également directeur exécutif de la Fintech Open Source Foundation (FINOS).

 

Logo de la Linux Foundation

La fondation Linux est depuis sa création en 2007 aux Etats-Unis un des acteurs majeurs de l’open source, hébergeant quantité de projets dans de nombreux secteurs. Ce mois-ci, l’organisation basée à San Francisco a enjambé l’Atlantique en créant la Linux Foundation Europe, installée à Bruxelles – annonce en VO ici et là en VF.

Ericsson, Accenture, Bosch, SAP, Suse parmi les membres

Lancée avec une douzaine de membres, la nouvelle branche a pour directeur général l’Italien Gabriele Columbro, qui reste parallèlement directeur exécutif de la Fintech Open Source Foundation (FINOS). Cette dernière avait rejoint la fondation Linux au printemps 2020.

Les membres inauguraux de la Linux Foundation Europe comprennent au niveau Platinum: Ericsson; au niveau Gold: Accenture; au niveau Silver: Alliander, Avast, Bosch, BTP, esatus, NXP Semiconductors, RTE, SAP, SUSE, et TomTom; au niveau associé: Banque d’Angleterre, OpenForum Europe, OpenUK et RISE Research Institute of Sweden. La participation à la Linux Foundation Europe est ouverte à toute organisation et gratuite pour les membres existants de la Linux Foundation, annonce celle-ci.

«La Linux Foundation Europe permettra aux projets collaboratifs ouverts d’être hébergés directement sur le territoire européen. Son projet inaugural, l’Open Wallet Foundation (OWF), (…) est un nouvel effort de collaboration établi pour développer un moteur de porte-monnaie numérique supportant l’interopérabilité pour un large éventail de cas d’utilisation.» Annoncé en juin, l’OWF a pour objectif de favoriser l’interopérabilité des portefeuilles numériques, les «wallets» qui servent à stocker les monnaies numériques telles que le bitcoin et l’ether, mais aussi les services en ligne basés sur des logiciels qui permettent d’effectuer des transactions électroniques avec d’autres personnes et des entreprises.

Rapport sur l’Europe

La Linux Foundation Europe s’est associée à la Linux Foundation Research et à 13 autres entités européennes [universitaires, commerciales et associatives], pour explorer l’état de l’open source d’un point de vue européen, en se concentrant sur les initiatives des gouvernements, des entreprises et des organisations à but non lucratif. Elle a publié un rapport, « The World of Open Source: 2022 Europe Spotlight ».

Qui, ce qui n’étonnera guère, conclut que:

« – L’open source est largement reconnu dans tous les pays et dans tous les secteurs d’activité comme un mécanisme de choix pour l’innovation.

– Le secteur public n’exploite pas toute la puissance de la collaboration en matière de logiciels open source pour créer une valeur collective et faire progresser la vision ambitieuse des biens communs numériques.

– Un déséquilibre entre les politiques de consommation et de contribution remet en cause la durabilité de l’écosystème open source. »

La collaboration, « seul moyen » d’impact sur la transformation du système énergétique

Parmi les déclarations des soutiens de cette nouvelle entité européenne, on note celle-ci qui fait le lien entre l’open source et la crise climatique:

«La transition énergétique est en train de bouleverser le système énergétique à l’échelle mondiale, avec des ambitions élevées en matière de réduction des émissions de CO2. En tant que gestionnaire de réseau de distribution chez Alliander, nous sommes convaincus que la collaboration est le seul moyen d’avoir un impact sur la transformation du système énergétique. Le fait d’être actif dans le domaine de l’open source depuis près de dix ans (et trois ans à la Linux Foundation Energy) a prouvé à Alliander que l’open source est un pilier stratégique essentiel pour atteindre nos objectifs», a déclaré Arjan Stam, directeur des opérations système chez Alliander.

La fondation Linux n’est pas la première entité américaine de l’open source à s’implanter en Europe: en 2020, la fondation Eclipse, créée en 2004, avait quant à elle déménagé son siège à Bruxelles en y adoptant le statut d’association internationale sans but lucratif (AISBL): une structure juridique belge «faite pour les gens comme nous, puisqu’elle permet de garder  une couverture internationale tout en étant basé en Belgique», nous expliquait Gaël Blondelle, qui dirige l’équipe européenne de la fondation Eclipse.

Source zdnet.fr

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GNOME 43 est disponible

Posted by CercLL sur 22 septembre 2022

6 mois de travail acharné ont permis de peaufiner et de livrer la version 43 de GNOME ce. Les améliorations sont nombreuses : nouveau menu de réglages rapides, application Fichiers redessinée et nouveaux efforts pour migrer de GTK 3 à GTK 4. Tous les détails.

GNOME 43 porte le nom de code « Guadalajara », en reconnaissance du travail effectué par les organisateurs de GUADEC 2022.

GNOME 43 : les nouveautés

GNOME 43 est livré avec un tout nouveau menu d’état du système, qui permet de modifier rapidement les paramètres les plus utilisés. Les paramètres qui nécessitaient auparavant de se plonger dans les menus peuvent désormais être modifiés d’un simple clic. Le nouveau menu permet de contrôler les fonctionnalités de mise en réseau de GNOME, comme les connexions Bluetooth et USB, ainsi que les points d’accès Wi-Fi.

GTK 4 est la dernière version majeure de la boîte à outils d’interface utilisateur de GNOME, qui a été publiée en décembre 2020. À la clé, des graphiques plus rapides et plus fluides, de nouveaux widgets d’interface et d’un nouveau look. Davantage d’applications passant de GTK 3 à GTK 4 : Fichiers (Files), Maps, Logs, Builder, Console, Configuration initiale, Contrôles parentaux.

Les applications Calendrier, Contacts et Appels ont toutes été améliorées pour GNOME 43. L’interface du calendrier a été mise à jour, avec une nouvelle barre latérale qui comprend un calendrier de navigation et une liste des événements à venir. Contacts dans GNOME 43 permet désormais d’importer et d’exporter des contacts sous forme de fichiers vCard.
Calls (Apples) bénéficie d’une série d’améliorations, notamment des temps de démarrage plus rapides, la prise en charge des appels VOIP chiffrés et la
possibilité d’envoyer des SMS à partir de l’historique des appels.

Les paramètres de confidentialité de GNOME incluent une nouvelle page Sécurité du matériel pour la version 43. Elle fournit des informations sur la sécurité de votre matériel physique, sa configuration et son logiciel interne (firmware).

GNOME 43 inclut la possibilité d’installer des sites et applications web sur le bureau, en tant que web apps. Cette fonctionnalité est une version nouvelle et améliorée de la fonctionnalité d’applications Web qui était disponible dans les versions précédentes de GNOME (42) via un menu « Installer le site comme application Web ».

La liste des nouveautés est copieuse et peut être consultée dans les notes de sortie de GNOME 43.

Installer GNOME 43

Pour l’installer, mieux vaut attendre les paquets officiels fournis par votre distribution GNU/Linux. Pour les distributions les plus populaires, c’est une question de jours ou de semaine.

Vous pouvez également essayer l’image de GNOME OS en tant que machine virtuelle, en utilisant l’application Boxes.

Dates de sortie

GNOME 43 est sorti le 21 septembre 2022.

Libre et Open Source ?

Oui ! Le logiciel GNOME est un logiciel libre : tout le code est disponible en téléchargement et peut être librement modifié et redistribué selon les licences respectives.

Source toolinux.com

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Un rapport sur le monde de l’Open Source européen en 2022

Posted by CercLL sur 21 septembre 2022

Linux Foundation Europe vient d’être créée. L’occasion pour la nouvelle entité de publier les résultats d’une recherche axée sur l’Europe : voici ce qu’il faut retenir du « World of Open Source : Europe Spotlight 2022 ».

Si l’open source est un phénomène véritablement mondial, des dynamiques régionales entrent en jeu. Cette étude inaugurale, publiée par la Linux Foundation Europe (dont nous vous parlions dans cet article), définit les priorités et les défis de l’open source en l’Europe.

Le rapport, dévoilé dans le cadre de l’Open Source Summit Europe, est signé Colin Eberhardt, Graham Odds et Matthew Dunderdale (Scott Logic). L’avant-propos a été rédigé par Gabriele Columbro, le nouveau (et premier) directeur général de la Fondation Linux en Europe.

L’Europe et l’Open Source

Les auteurs du rapport rappellent que, depuis des décennies, l’Europe est à la pointe du développement des logiciels libres. Il y a plus de 30 ans, Linus Torvalds, d’origine finlandaise, a créé le noyau Linux, qui est devenu le noyau de système d’exploitation le plus utilisé au monde. Le Web et son protocole HTTP ouvert, ainsi que les normes qui en découlent au W3C et dans d’autres organisations de normalisation de l’Internet, sont le fruit des travaux initiaux de Sir Tim Berners-Lee au CERN, le laboratoire européen de physique des particules.

L’Europe a également été un pionnier dans le développement de matériel informatique libre. Exemples : le Raspberry Pi, dont nous vous parlons régulièrement dans ces colonnes, développé au Royaume-Uni – ou encore la plateforme Arduino, née en Italie.

En outre, l’Europe abrite de nombreuses entreprises importantes dans le domaine de l’open source, telles que Canonical (société à l’origine du système d’exploitation Ubuntu), SUSE et GitLab.

Conclusions de l’étude

Lors de l’Open Source Summit Europe, Hilary Carter, vice-présidente de LF Research, a souligné plusieurs enseignements importants :

L’open source est un environnement dans lequel il est amusant et enrichissant d’être, et un environnement que les répondants ressentent comme un endroit où ils peuvent apprendre de nouvelles compétences
L’open source reste une clé apolitique pour favoriser les biens communs numériques, permettant des innovations qui peuvent naître en Europe et devenir des normes de facto utilisées dans le monde entier
La plupart des répondants adoptent des politiques qui encouragent ouvertement la consommation de technologies open source. Cependant, il existe un déséquilibre concernant la contribution en amont. Et cela crée certains défis pour la durabilité des communautés open source. « Encourager la contribution en amont est toujours un défi que nous devons nous efforcer de surmonter« , estime Mme Carter

Télécharger le rapport

Le rapport « World of Open Source : Europe Spotlight 2022 » peut être téléchargé en PDF, sans inscription obligatoire.

Source toolinux.com

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